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Yo!

Yo ! Yo ! Yo !

Ça fait du bien d’être capable de prononcer des mots.

Quand je suis content, je dis bonjour. Aujourd’hui je suis super content pour une raison toute simple : j’ai retrouvé l’espoir. C’est une histoire que j’ai envie de te raconter mais qui me concerne aussi, enfin, de mon point de vue elle me concerne surtout. Je sais pas toi, mais moi j’ai toujours cette impression que si je parle pas de moi ça n’intéresse personne, mais que si je ne parle pas de moi, décidément je ne peux rien dire : qu’est-ce que je sais plus que ce que je ressens là maintenant ?

Je me trompe tellement sur moi, j’ignore jusqu’à mon sexe, ma religion, ma politique. J’ai cru que j’étais homosexuel, violé, autiste, une journée que j’étais président de l’union européenne, une nuit j’ai été l’univers, j’ai rêvé être Steve Jobs, Linus Torvalds, j’ai suivi Jésus, j’ai chié dans la colle souvent aussi, je préfère le dire tout de suite.

Quand j’étais petit je voulais être écrivain, je suis devenu un écrivain qui n’écrit pas, un chevelu aux cheveux court, aujourd’hui je comprends ce que ça veut dire.

Ne vous y leurrez pas ! Malheureux, j’ai souvent dis ça pour m’arrêter quelques lignes plus loin et recommencer la même histoire plus loin.

Je rigole beaucoup je sais, mais je préfère ça que pleurer. Je préfère ça que de crier, d’être en colère, d’hurler ma rage au monde, rigoler et faire la fête, c’est bien aussi.

Va voir un psy. C’est pas de la psychiatrie, c’est de la recherche. Mon métier ce soir, c’est philosophe. Normalement mon délire, c’est faire accoucher les gens, la naïveté qui agace je crois, chercher la vérité, faire le bien (je suis cathée) et patatras.

Il y a au moins un truc qu’on puisse faire à propos de la vérité, c’est dire la notre, je peux pardonner à n’importe qui qui dit la vérité, beaucoup en semblent incapables.

J’essaye de le faire après m’être entrainée à la mode surréaliste, en fait maintenant j’écris juste comme ça vient, et ptet que je me relirai plus ou moins, je ne sais même pas pourquoi je parlerai de méthode. Essayer de parler avec des mots vrai.

A ce propos, je dirais qu’il y a une réalité physique suffisement connue pour envoyer des hommes sur mars, je trouve ça plutôt pas mal, la fusion ça serait sympa faut dire.

Et il y a une réalité sociale. Et là c’est plus compliqué. Je prends l’exemple de l’art. Le Ready Made.

Il n’y a rien de plus à dire. J’ai fait des oeuvres d’art invisible, inodores et incolores et insonores intangibles, antipotentes, antiscientes mais bien vivantes, je vous le confirme, je les perçois. Concrètement, il peut s’agir de gestes dans le métro ou simplement de penser quelque chose, peut être le ressentir, imaginer la plus petite action que vous soyez capable de réaliser et à cet action il faut le fait de décréter que c’est une oeuvre d’art, et voilà.

Par exemple je viens d’installer sur Paris une immense pieuvre lumineuse, à la extraterrestre omniscient de fin de film de science fiction, fluos des années 90.

Il y a des explications psychologiques à tout ça, des explications émotionnelles, conjoncturelles, mais il y a aussi des explications logiques.

Pourquoi je voulais parler et pourquoi je me suis tu ? Pourquoi je voulais simplement faire le bien, m’intégrer et ai-je ressenti tant de souffrances ? J’ai l’impression que toutes les luttes me concerne et ce n’est pas possible.

Quand j’étais fou, j’ai cru que l’achèvement de tout ça serait une sorte de démonstration mathématique flamboyante, sans doute voulais-je dire logique, je m’étais rendu compte de votre présence et je pensais que cette rencontre changerait le monde, déjà elle a changé mon monde. Par métonymie elle devrait changer le votre, Parce que j’avais compris, vous aviez compris et tout aller bien se passer, le monde allait enfin changer.

Est-ce que ma folie c’était de croire que le monde allait changer ? Non ma folie c’était de croire que j’étais au centre de tout ça. Cette place n’est pas la mienne, le monde peut très bien changer tout seul ça m’irait bien, la journée à faire des trucs rigolos. Le monde social est un rhizome. Qui est président ? Quel qu’un que l’on désigne président, c’est vous, avec cette étiquette en plus. C’est comme ça qu’il faudrait réfléchir si vous vouliez savoir ce que fait d’être président : rick et morty.

Mais que dire de la folie que j’avais omise jusqu’ici alors ? Ce n’est pas vous que j’avais vu, c’était eux, les fantômes avec qui on dialogue énigmatiquement.

Bref, je crois que je m’égare, j’ai souvent ressassé ces histoires récemment. Je ne sais pas si elles ont étées suffisemment, claires, mais on fera avec. Le point de mon point, c’était de vous parler de l’espoir.

Les femmes ont gagnées une bataille. On dit autrice maintenant.

J’espère de tous mon coeur que le racisme est en train d’en prendre un coup.

Je viens de Versailles, le populaire me dégoûte, il y a les black eyes peas qui passe sur mes coûts de coeur, et la motivation inévitable que ça m’inspire me dégoûte ! Et ça aussi ça me fait rire, mais rire sincèrement, le monde a besoin de débats stériles, l’art est parfait pour ça.

Vient le Requiem de Fauré stricte vérité, hasard guidant la réflexion, le sanctus plus précisément, j’ai toujours adoré les trompettes, et particulièrement le choeur, Pim Pim Piiiiiim, je l’écoutais avant mes contrôle de math au Lycée Hoche. Je rigole parce que c’est l’habitus, salopard de Bourdieu ! Il a raison l’enculé, c’est pour ça qu’on l’aime.

Les parents d’une d‘une amie versaillaise sont homophobe à cause de ça, c’est moins drôle.

Le parrain de mon frère est brouillé (et je crois que le mot est faible) avec ses parents à cause de la religion et de ce qu’elle fait aux hommes. Je suis feignant, je ne m’implique pas beaucoup, j’aime rester assis chez moi devant mon ordinateur ou dans mon lit, être avec la famille ou les amis, bref, je n’ai pas le temps à perdre avec des choses ou des gens dont le but est de rendre malheureux d’autres gens, ça me rendrait moi-même trop malheureux.

C’est possible de parler de tout ça de manière très calme et très mesurée aussi, j’ai juste choisi un chemin où on explique au passage, pas forcément le plus explicite mais que je pense le plus sincère. Ce que je voulais partager c’était des histoires, puis mon histoire, puis votre Histoire.

Je vous est trop écouté, j’ai trop voulu croire que vous aviez raison, pour vous faire plaisir, les aberrations sautent tellement aux yeux de toute part que tout le monde, ou presque (et parmi ceux ci, beaucoup bien plus que moi), préfère les fermer.

Devenir meilleur est nécessaire quand vous avez l’impression que votre impression de petitesse est telle qu’elle tire tous vos amis vers le bas.

Je pense à ça parce que j’ai pensé à Hannah Arendt, j’ai pensé à elle parce que j’ai pensé à son livre sur le procès Eichman que je n’ai pas lu et que je devrais sans doute lire, j’avais envie de le lire parce que j’ai du faire quelque chose avec lequel je n’étais pas d’accord pour la deuxième fois (pas quelque chose de trop grave mais un peu quand même, la preuve ça m’a fait penser aux choix qu’on doit faire attention à faire dans sa vie). Je crois que cette démonstration est autoréférente ou un truc du genre (les mots comme ça c’est mieux quand on en vérifie le sens, mais je vais être joueur, je le laisse comme ça, je voulais dire invérifiable parce qu’elle tourne en boucle sur elle même).

Le travail c’est très bien, sauf qu’on vous demande de ne pas faire de choix. Et on nous fait croire que ceux qui font les choix savent mieux que nous parce qu’ils disent qu’ils savent mieux que nous, et ce, même dans la science Raoult et Lancet, vous étes inaudibles, on ne comprend rien. Avec toute la bonne volonté du monde y a rien à faire, on va pas devenir plus sachant que vous sur ce sujet, et tout le monde se rend bien compte que tous les trucs les plus sérieux sont questionnable.

Et comme tout est déjà questionné en moi, décidément il n’y a pas grand chose à espérer, je ne peux quand même pas lire tous les livres, et je ne lis pas tant que ça de toute façon.

J’avais tranché cette question il y a bien longtemps, quand j’étais sociologue (ça peut suprendre mais j’ai décidé de faire comme tout le monde qui veut se faire mousser un peu et assumer mes divers métiers, même si c’est parfois jouer avec les mots, de toute façon les mots il ne faut surtout pas trop s’y fier).

Dans les mots on vit la vie des autres.

Les gens font rien que se les voler transformer la réalité à leur guise, parce que ça les arrange ou les amuse, ou peut-être qu’ils ont toujours fait comme ça et voilà tout, il n’ont jamais eu besoin de regarder plus loin que le bout de leur nez. Ceux qui savent ne sont pas forcément ceux qui ont les mots pour le dire.

Je voudrais attirer simplement sur ma condition, partager ma faiblesse, pour me sentir moi aussi, plus humain.

On voit bien qu’au niveau de la société on fait n’importe quoi, tout est un peu trop saugrenu, a presque toutes les échelles, autour de vous, pas continu, diffus, mais partout. Pour parler de ce que je rencontre, pour accélérer quelque chose, on l’arrête d’avancer. Ce genre de chose, on veut bien ne pas connaître la situation mais il faut reconnaître que c’est plutôt saugrenu.

Il y a des situations moins saugrenues et franchement colérisantes. Comme — j’ai pas envie de faire la liste, je vais forcément oublier des trucs, et en plus c’est pas des trucs, c’est les combats de votre vie.

En vrai je crois que c’est mieux, la plupart des militants que j’ai rencontré m’ont demandé de soutenir leur cause, pas de me battre à leur place. Faut faire son chemin comme on dit peut-être sur youtube, ou sur facebook, se battre pour ses trucs, pour les trucs qui n’appartiennent qu’à nous, tout simplement parce que nous sommes les seul à pouvoir les faire.

L’intelligence humaine est soluble dans le monde qui l’entoure, qu’elle perçoit, elle transforme tout ce qu’elle touche et elle touche tout ce dont elle a conscience.

La volonté c’est s’orienter.

La vérité c’est ce qu’on croit savoir.

Je ne sais pas définir liberté et je crois que c’est une bonne nouvelle pour moi, je n’ai jamais eu besoin de le définir puisque je n’en ai jamais manqué. Ou c’est un énorme mensonge, c’est une autre histoire.

Quelle plaît que la condition humaine, peut-être est-ce aussi simple que ça, c’est ça qui est absurde.

En attendant la condition humaine c’est aussi des choses très concrètes, du respect, pas de mensonges, le toit que l’on veut, les partenaires qu’on a envie d’avoir, l’avenir que l’on crée, la richesse pour tous les homme le paradis sur terre, pas dans l’haut delà, c’est cela l’impossible minimum qu’il faut construire, et biensûr, puisque c’est impossible, on ne pourra pas tout faire.

Par quoi faut il commencer ? Vous voyez qu’on partage les mêmes problèmes, par quoi faut-il que je commence à parler, et par quoi faut-il commencer de changer le monde ?

Mais la réponse diverge, ce n’est pas la grande jonction hégellienne espérée, la société ne s’incarne pas en un individu.

Pour ce qui est du personnel, il ne faut pas oublier l’origine de la réalité (fausse ?) ce doute qui a conduit à une souffrance si grande, et il ne faut surtout pas oublier qu’elle fut si grande. J’en ai perdu l’esprit. Et c’est pourquoi j’aimerai en savoir la cause, je me sentirai l’esprit plus léger, je me défoule sur le monde en attendant.

Pour ce qui est de changer le monde, j’ai déjà rempli ma part du boulot. Je ne ferai rien de plus, vous ne pouvez pas compter sur moi.

J’ai constaté que la révolution mondiale avait déjà eu lieu. C’était le premier mai Yo et Alice en son témoins, dans une twingo grise vers deux heures du matin sur le plateau des Millevaches.

Elle a eu lieu, ça veut dire que c’est bon maintenant on a le droit de faire tout ce qui est bien. Vous n’avez plus de raison de faire un métier ou que ce soit qui nuise aux autres, si vous fabriquez des bombes, par exemple, ce n’est pas quelque chose dont on a besoin en quantité puisque ça sert surtout à tuer des gens. Et si vous faites un métier qui fait le bien, vous avez le droit de bien le faire. Si vous êtes infirmière ou médecinte (c’est comme ça que je dis, dézo, je veux bien changer, balek comme on dit), vous avez le droit, et même le devoir ! puisqu’on utilise les Grand Mots, vous avez le devoir de bien faire votre boulot, parce qu’il sauve des vie, et ceux qui vous empêche à mon avis, vous devriez les combattre.

pourquoi pas après tout ? y a l’air d’avoir du chemin.

Et je voudrais pas crever avant d’avoir vu Les chiens noirs du Mexique Qui dorment sans rêver. Merci monsieur Boris Vian, le plus brillant des poétes !

Ce que ça veut dire c’est que si vous voulez vraiment voir quelque chose changer, vous avez qu’à vous en occuper vous même, tout de suite, sinon ce ne sera jamais fait, enfin faut jamais dire jamais, mais quand le temps est interminable, jamais passe en une seconde.

et je crois que je vais m’arrêter là, ce que je voulais transformer, c’était le silence en mots, et c’est ce qu’il me semble être arrivé.

j’ai commencé par yo ! je vais finir par,

à bientôt

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